Une publication récente étudie la contamination des parcs publics d'une capitale européenne par les parasites digestifs du chien et du chat, notamment ceux transmissibles à l'homme.
L'étude des déjections canines et félines montre qu'environ un animal sur deux rejette dans l'environnement un ou plusieurs parasites digestifs.
Ces parasites se retrouvent par la suite dans un prélèvement de sol sur cinq.
Cette étude rappelle qu'en l'absence de symptômes visibles lors d'infestation par des parasites digestifs, un traitement vermifuge adapté et personnalisé est une mesure d'hygiène à respecter pour éviter le passage des parasites des animaux domestiques à l'homme.